Évadé de l’hôpital psychiatrique où il essayait de retrouver la mémoire et la parole, le narrateur erre à la recherche de sa sœur disparue, Georgie.
Ce jeune homme désespéré est hanté par des images de délire – certaines joyeuses, d’autres bouleversantes – dont il doit recoller les morceaux en suivant les traces imaginaires de sa sœur. À travers un dédale nourri de rumeurs citadines, le narrateur poursuit une quête inutile mais salvatrice. Il apprend à ses dépens, d’abord mu par un sentiment d’urgence puis plus sereinement au fur et à mesure que l’intrigue se dénoue, à vivre seul, et surtout, à survivre dans un monde peuplé de femmes de verre et d’hommes brûlés, dans une ville hostile qui le pousse à se cacher, à se battre et à dormir dans la rue.
Joies est un récit d’instants fragmentés, le témoignage subversif, tendre et introspectif d’un drame familial et fusionnel, une œuvre de résilience qui nous enseigne que la joie peut faire mal et que l’escalade précède parfois la chute. D’un lyrisme poignant, les mots d’Anne Guilbault deviennent puissants pour porter un héros fragilisé, qui n’arrive plus qu’à crier pour s’exprimer.
Évadé de l’hôpital psychiatrique où il essayait de retrouver la mémoire et la parole, le narrateur erre à la recherche de sa sœur disparue, Georgie.
Ce jeune homme désespéré est hanté par des images de délire – certaines joyeuses, d’autres bouleversantes – dont il doit recoller les morceaux en suivant les traces imaginaires de sa sœur. À travers un dédale nourri de rumeurs citadines, le narrateur poursuit une quête inutile mais salvatrice. Il apprend à ses dépens, d’abord mu par un sentiment d’urgence puis plus sereinement au fur et à mesure que l’intrigue se dénoue, à vivre seul, et surtout, à survivre dans un monde peuplé de femmes de verre et d’hommes brûlés, dans une ville hostile qui le pousse à se cacher, à se battre et à dormir dans la rue.
Joies est un récit d’instants fragmentés, le témoignage subversif, tendre et introspectif d’un drame familial et fusionnel, une œuvre de résilience qui nous enseigne que la joie peut faire mal et que l’escalade précède parfois la chute. D’un lyrisme poignant, les mots d’Anne Guilbault deviennent puissants pour porter un héros fragilisé, qui n’arrive plus qu’à crier pour s’exprimer.
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