Dans cette autofiction sans compromis, Michelle Lapierre-Dallaire livre un témoignage incisif et lucide sur la maladie mentale, les violences sexuelles et familiales et la misogynie.
Œuvre percutante qui a marqué le monde littéraire à sa parution en 2021, le premier livre de Michelle Lapierre dérange par sa franchise désarmante. Rare incursion dans la psyché borderline, Y avait-il des limites si oui je les ai franchies mais c’était par amour ok est un kaléidoscope de scènes à la limite du supportable et de réflexions lumineuses sur la maladie mentale, la famille et l’amour, narrées par une écriture d’une beauté à couper le souffle.
On en parle
Retenez son nom, elle risque de faire jaser longtemps : Michelle Lapierre-Dallaire. La jeune autrice originaire du Lac-Saint-Jean signe ici son tout premier roman, une autofiction qui s’inscrit douloureusement dans le mouvement #metoo. Avec un titre impossible duquel résonne l’urgence, sans filtre et de manière archifrontale, la jeune femme se raconte. Accrochez-vous, elle en a long, et lourd, à dire.
— Silvia Galipeau, La Presse
Elle fait son entrée dans les lettres québécoises de manière fracassante. Michelle Lapierre-Dallaire nous livre une autofiction qui prend sa force à même sa perdition. En émerge un cri, une urgence, un soulèvement, une insurrection.
— Isabelle Beaulieu, Les Libraires
Avec aplomb, authenticité et une poésie adoucissant sans toutefois aseptiser son propos, Michelle Lapierre-Dallaire ose également par moments faire de nous les voyeur.euse.s choqué.e.s, révolté.e.s de tous ses tourments et tourmentes. Elle parvient surtout à rendre la lecture de son livre incontournable et nécessaire.
— Valérie Lessard, Radio-Canada