Dans une prose libre et sonore, attentive aux accents des Québécois du district de Québec – cette étonnante « patrie des originaux », – Louis Fréchette campe douze portraits relevés de héros populaires et légendaires : des « types bizarres », des « excentriques personnages à panache polychrome », des joyeux vivants, des bons garçons, des robinets « à plaisanteries ». À travers eux, c’est une partie de son enfance qu’il revisite, celle où ces figures morales se sont imposées ; elles seront restées vivantes dans sa mémoire, magnifiées par l’aura du souvenir.
Ces histoires comptent parmi les meilleures pages de Louis Fréchette. Toutes, alors que la jeunesse et « les dieux s’en vont », font entendre le talent naturel d’un conteur qui glisse quelques notes de tendre malice à travers la grande affection qu’il porte à ses compatriotes.
Dans une prose libre et sonore, attentive aux accents des Québécois du district de Québec – cette étonnante « patrie des originaux », – Louis Fréchette campe douze portraits relevés de héros populaires et légendaires : des « types bizarres », des « excentriques personnages à panache polychrome », des joyeux vivants, des bons garçons, des robinets « à plaisanteries ». À travers eux, c’est une partie de son enfance qu’il revisite, celle où ces figures morales se sont imposées ; elles seront restées vivantes dans sa mémoire, magnifiées par l’aura du souvenir.
Ces histoires comptent parmi les meilleures pages de Louis Fréchette. Toutes, alors que la jeunesse et « les dieux s’en vont », font entendre le talent naturel d’un conteur qui glisse quelques notes de tendre malice à travers la grande affection qu’il porte à ses compatriotes.
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