Au XVe siècle, la science de la navigation fait d’énormes progrès et les pays d’Europe sont prêts à lancer des hommes sur des mers jusqu’alors inconnues pour en tirer des avantages économiques indéniables.
En 1534, les Français prennent possession de la partie septentrionale de l’Amérique. Quelques années plus tard, ils y dressent les premiers établissements permanents. L’Histoire populaire de la Nouvelle-France décrit les contacts établis par les arrivants avec les différentes nations amérindiennes et présente le rôle des navigateurs, des missionnaires et des militaires dans l’édification de la colonie.
Dans ce premier volume, Jacques Lacoursière raconte l’arrivée des Français sur le nouveau continent, la cohabitation avec les autochtones et les affrontements avec les autres nations européennes qui souhaitent aussi s’y installer. Des débuts de la colonie jusqu’à la Grande Paix de Montréal de 1701, qui clôt le tome, l’auteur jette un éclairage nouveau sur les débuts du Québec. Fidèle à son style, il s’en tient aux faits et ne se perd pas en savantes considérations. À chaque page, le lecteur découvre plusieurs renseignements historiques présentés dans un style vivant et limpide.
Au XVe siècle, la science de la navigation fait d’énormes progrès et les pays d’Europe sont prêts à lancer des hommes sur des mers jusqu’alors inconnues pour en tirer des avantages économiques indéniables.
En 1534, les Français prennent possession de la partie septentrionale de l’Amérique. Quelques années plus tard, ils y dressent les premiers établissements permanents. L’Histoire populaire de la Nouvelle-France décrit les contacts établis par les arrivants avec les différentes nations amérindiennes et présente le rôle des navigateurs, des missionnaires et des militaires dans l’édification de la colonie.
Dans ce premier volume, Jacques Lacoursière raconte l’arrivée des Français sur le nouveau continent, la cohabitation avec les autochtones et les affrontements avec les autres nations européennes qui souhaitent aussi s’y installer. Des débuts de la colonie jusqu’à la Grande Paix de Montréal de 1701, qui clôt le tome, l’auteur jette un éclairage nouveau sur les débuts du Québec. Fidèle à son style, il s’en tient aux faits et ne se perd pas en savantes considérations. À chaque page, le lecteur découvre plusieurs renseignements historiques présentés dans un style vivant et limpide.
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