Au début du XVIIIe siècle, la France et l’Angleterre sont en guerre, et l’Amérique du Nord n’échappe pas à leur conflit. Les Français subissent de plus en plus souvent les assauts des Anglais, qui sont eux aussi présents sur le territoire septentrional de l’Amérique.
En 1700, la colonie française croît lentement et n’est pas aussi peuplée que les colonies britanniques. À cette époque, les décisions importantes étaient prises en France et étaient pensées pour la métropole plutôt que la colonie. De plus, aux prises avec un manque de main-d’œuvre, de capital et avec des conditions climatiques exigeantes, la colonie ne réussit pas à établir d’entreprise industrielle ambitieuse et rentable. Dès lors, la Nouvelle-France s’engage sur le chemin de la défaite, et sa perte n’est qu’une question de temps.
Dans ce deuxième volume, Jacques Lacoursière nous entraîne dans les conflits qui opposent la France et l’Angleterre jusqu’à la défaite des Plaines d’Abraham, qui mènera à la capitulation en 1760. La signature du traité de Paris, trois ans plus tard, marque la fin de la Nouvelle-France et instaure une cohabitation pacifique entre Français et Anglais pour les siècles suivants.
Au début du XVIIIe siècle, la France et l’Angleterre sont en guerre, et l’Amérique du Nord n’échappe pas à leur conflit. Les Français subissent de plus en plus souvent les assauts des Anglais, qui sont eux aussi présents sur le territoire septentrional de l’Amérique.
En 1700, la colonie française croît lentement et n’est pas aussi peuplée que les colonies britanniques. À cette époque, les décisions importantes étaient prises en France et étaient pensées pour la métropole plutôt que la colonie. De plus, aux prises avec un manque de main-d’œuvre, de capital et avec des conditions climatiques exigeantes, la colonie ne réussit pas à établir d’entreprise industrielle ambitieuse et rentable. Dès lors, la Nouvelle-France s’engage sur le chemin de la défaite, et sa perte n’est qu’une question de temps.
Dans ce deuxième volume, Jacques Lacoursière nous entraîne dans les conflits qui opposent la France et l’Angleterre jusqu’à la défaite des Plaines d’Abraham, qui mènera à la capitulation en 1760. La signature du traité de Paris, trois ans plus tard, marque la fin de la Nouvelle-France et instaure une cohabitation pacifique entre Français et Anglais pour les siècles suivants.
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