Marie Auger a froid aux yeux. Et pour cause! Elle s’est réfugiée dans le frigidaire, consternée par le suicide de sa mère qui avait écrit sur un bout de papier: «Je n’en peux plus.» Quoi de plus naturel alors qu’elle s’enferme dans un frigidaire pour refroidir sa douleur?
Date de parution
10 octobre 2000
Nombre de pages
126
Langue
Français