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Michèle Melançon est une enfant éparpillée, maladroite, turbulente… mais très attachante. À l’âge de 9 ans, elle apprend que sa mère est gravement malade du cancer. Au décès de cette dernière, Michèle est confiée à des tuteurs, les Boivin. Des jours ternes se dessinent pour la jeune fille naïve. Les Boivin ont des manières dures, qui auraient brisé bien des élans. Mais c’était sans compter la formidable force de vivre de Michèle !

Des années plus tard, au lendemain d’une rupture amoureuse, elle revient sur son passé, son enfance rose-grise et ses rapports familiaux difficiles. À travers une mosaïque d’épisodes lumineux et grinçants tout à la fois, on découvrira le parcours inspirant, touchant et hilarant d’une femme à la personnalité hors du commun.

« Chronique douce d’une enfance assombrie par l’égoïsme de tuteurs insensibles, comédie dramatique ambitionnant essentiellement de divertir, guirlande de polaroïds joliment défraîchis, Mardi comme mardi nourrit l’espoir qu’il n’est jamais trop tard pour se trouver une famille et qu’il n’est jamais trop tard, non plus, pour s’éloigner de ceux qui nous ont blessés. » – Dominic Tardif, Le Devoir

« Une émouvante autofiction qui, sur le ton de la comédie, camoufle un drame à faire pleurer tous les cœurs.» – Claudia Larochelle, L’Actualité

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On en parle

Chronique douce d’une enfance assombrie par l’égoïsme de tuteurs insensibles, comédie dramatique ambitionnant essentiellement de divertir, guirlande de polaroïds joliment défraîchis, Mardi comme mardi nourrit l’espoir qu’il n’est jamais trop tard pour se trouver une famille et qu’il n’est jamais trop tard, non plus, pour s’éloigner de ceux qui nous ont blessés.
– Dominic Tardif, Le Devoir

Une émouvante autofiction qui, sur le ton de la comédie, camoufle un drame à faire pleurer tous les cœurs.

 – Claudia Larochelle, L’Actualité